Interview à Greenroom (21/10/15)

A l’occasion de la sortie d’Electronica 1 : The Time Machine, Greenroom a rencontré le pionnier Jean-Michel Jarre.

Quand on pense Jean-Michel Jarre, on voit des lasers, un brushing, des concerts gigantesques. On entend quelques notes d’Oxygène, qui traîne encore en cassette dans nombre de maisons. Et puis, on est rapidement impressionné : n’est-il pas un des premiers Français à s’exporter aussi bien ? N’est-il pas le premier à populariser la musique électronique à une époque où elle est au mieux taxée de « bizarre », au pire de « sous-musique » ? Sans Jean-Michel, pas de Air, pas de French Touch, pas d’Ed Banger, pas de Bromance et, in finé, pas de Concrete dimanche matin. Autant dire qu’on lui doit pas mal de bons moments. Alors quand le compositeur sort un nouvel album, après huit ans d’absence et bourré de featurings (pardon, de «collaborations»), forcément, ça intrigue. Jean-Michel Jarre en 2015, ça donne quoi ? Un monsieur adorable, très bavard, en gilet tout simple alors que nous le rencontrons dans un très chic hôtel de l’avenue Montaigne. Il nous parle des nombreuses collaborations de cet album, sorti vendredi 16 octobre, de notre rapport à la technologie (une de ses passions depuis quelques années), de binge watching… Vivement la prochaine saison des festivals : on le croisera sûrement. Lire la suite.

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