Pour les quarante ans d’«Equinoxe», le pionnier de l’électronique synthétique imagine une passionnante pop spatiale instrumentale.
On ne l’arrête plus. Après un trou d’air de huit ans dans sa discographie, à la suite du dispensable (de son propre aveu) Téo & Téa* (2007), Jean-Michel Jarre, au sortir d’une longue période de déprime, a publié en l’espace de trois petites années Electronica 1* et 2*, soit l’équivalent de deux doubles albums, une composition épique de 39 minutes (Oxygène 3*), une œuvre rétrospective (Planet Jarre*) et enfin, aujourd’hui, Equinoxe Infinity*, carrément un pic créatif du plus grand vulgarisateur (au sens noble du terme) de la musique électronico-synthétique. Lire la suite.
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