La société américaine Rocky Mountain Instruments, basée à Rocky Mounts, Caroline, s’est fait connaître à la fin des années 60 en commercialisant des pianos électriques (série Model 100, Model 100A, Model 200 et Model 200A) qui diposaient de plusieurs sonorités (piano, orgue, clavecin..)
Commercialisé en 1974 par la société américaine Rocky Moutain Instruments, le Keyboard Computer One fut le premier synthétiseur numérique portable commercialisé. Le KC-1 disposait d’un clavier 61 notes inclu dans une coque en plastique noire. Continuer la lecture de RMI Computer Keyboard (1974)→
Au début des années 70, Tom Oberheim, un ingénieur en informatique passionné de musique, se lance dans la fabrication de modules, appelés SEM (Synthesizer Expander Module) destinés à améliorer les fonctionnalités d’instruments existants, essentiellement des Moog. En 1975, commercialise ses premiers synthétiseurs, essentiellement constitués de 2 à 8 SEM. En 1976, il lance un synthé monophonique, l’OB-1 ; une anecdote à propos de cet instrument : son nom, qui se prononce “Obi Ouane” en anglais, aurait donné son patronyme au célèbre Obiwan Kenobi des films “StarWars”. Quand on sait que les “dialogues” du droïde R2D2 étaient entièrement faits sur un ARP 2600, on peut dire que cette saga space opéra doit beaucoup à la musique électronique (encore plus si Jean-Michel Jarre avait accepté d’en faire la musique, comme George Lucas le lui avait demandé…). Continuer la lecture de Oberheim OB-X / OB-Xa (1979)→
Au début des années 70, Tom Oberheim, un ingénieur en informatique passionné de musique, se lance dans la fabrication de modules, appelés SEM (Synthesizer Expander Module) destinés à améliorer les fonctionnalités de modulaires existants, essentiellement des Moog, e en particulier du Minimoog. Continuer la lecture de Oberheim 2 Voices / TVS1 (1974)→
Fin des années 70, le marché du synthétiseur connait une légère saturation. L’arrivée des japonais (Yamaha, Korg, Roland) a apporté de nombreux instruments parfois plus rudimentaires que les modulaires des grands anciens (Moog, ARP) mais aussi plus abordables pour le grand public. ARP et Moog tentent de se distinguer en explorant d’autres pistes. Chez ARP, cela donnera l’Avatar, un synthé guitare qui va leur couter les yeux de la tête en recherche et développement et ne quasiment rien leur rapporter ; la marque finira par mettre la clef sous la porte en 1980 après l’échec cuisant d’un piano électrique sorti à la va-vite et bourré de problèmes techniques. Continuer la lecture de Moog Taurus (1976)→
Rien que le fait de prononcer son nom évoque déjà une grande partie de l’histoire de la synthèse pour beaucoup de gens … Le Minimoog est un peu aux synthés ce que John Wayne fut aux westerns …
Mais comment devient t’on un mythe à ce point ?? Eh bien c’est très simple : En 1969, la marque de synthé R.A. Moog vend des systèmes de synthèse analogique modulaire. Malheureusement, la taille de ces bestiaux est proportionnelle au son : énorme !! Continuer la lecture de Moog Minimoog (1971)→
Le PS3200 est le deuxième de la série des “Polyphonic Synthesizer” de la firme japonaise Korg et qui comporte ausi le PS3100 (moins puissant) et le PS3300 (plus puissant).
L’instrument est polyphonique 48 voies, ce qui était colossal en cette année 1977 qui vit sa commercialisation. Chaque voie disposait de 2 oscillateurs, de son propre filtre et de son propre LFO ! L’engin était un véritable monstre, qui permettait de stocker 16 sons en mémoire. Continuer la lecture de Korg Polyphonic Synthesizer PS3200 (1977)→
En 1972, la firme anglaise EMS (Electronic Music Studio) installée à Londres, commercialise deux nouvelles versions encore plus compactes et portables de leur VCS 3 de 1969.
Si le Synthi A (aussi appelé Portabella) est techniquement similaire au VCS 3, il se présente sous la forme d’une petite valise, et il est même doté d’une poignée sur le dessus pour le transporter. Autre différence par rapport à son grand-frère, il inclut deux petits hauts-parleurs. Continuer la lecture de EMS AKS (1972)→
L’A.R.P 2600 n’est pas comme son nom semble l’indiquer une harpe avec 2600 cordes mais bien un synthétiseur et pas un synthétiseur de Mickey…
La société ARP Instruments a été créée par un ingénieur en électronique, Alan R. Pearlman (ses initiales ont donné le nom de la société). Elle sera leader du marché du synthé pendant toutes les années 70 (40% de part de marché). Tout commence en 1969 avec la création de la firme Tonus Inc. qui fabrique des produits électroniques, mais aussi et surtout un gros synthétiseur, l’ARP 2500. Continuer la lecture de ARP 2600 (1971)→
En 1969, Alan Robert Pearlman, un ingénieur expérimenté en électronique, est persuadé que l’avenir de la musique est dans l’instrumentation électronique. Les premiers essais commerciaux de Robert Moog et de Don Buchla, en 1967, lui donnent envie de se lancer dans l’aventure. Avec 100 000 dollars, il fonde la société ARP Instruments Inc (A, R et P étant les initiales de Pearlman). En 1970, il commercialise son premier instrument, le modèle 2500. Continuer la lecture de ARP 2500 (1970)→
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