Alors qu’il sort « Equinoxe Infinity », le pionnier de l’électro parle du futur mais aussi de son héritage paternel et musical.
Barbe de trois jours, chemise noire pailletée, Jean-Michel Jarre reçoit dans son vaste appartement parisien. Le septuagénaire – il en paraît vingt de moins – rentre tout juste d’un concert géant* en Arabie Saoudite [entretien réalisé avant l’assassinat du journaliste saoudien Jamal Khashoggi]. Il en garde un souvenir mémorable. Durant son show, les hommes et les femmes n’étaient pas séparés et les machines étaient alimentées à l’énergie solaire. Lire la suite.
Jean-Michel Jarre sera l’invité de Yann Barthès sur TMC. L’émission, qui est en direct est en 2 parties, de 19h25 à 20h05, et la seconde de 20h10 à 21h15.
Le 16 novembre, le musicien français a dévoilé son der nier album studio, Equinoxe Infinity*. Il s’agit de la suite, quarante ans après jour pour jour, de son quatrième album, Equinoxe* sortie en 1978. Cette bande-son de dix mouvements est en grande partie inspirée par l’usage des nouvelles technologies.
Paris Match. Les Watchers sont de retour sur la pochette de votre nouvel album. Que regardent-ils concrètement ? Le monde virtuel et technologique dans lequel nous baignons ? Jean-Michel Jarre. Cette suite à Equinoxe est la bande son d’un scénario que je me suis créé. Ces Watchers symbolisent toutes ces machines qui nous entourent, nous observent et apprennent de nous… Nous oublions de regarder nos proches au profit des écrans de smartphone. Nous perdons surtout de vue que ces écrans nous observent également intensément pour accumuler des informations sur nous. A l’aube de l’explosion de l’intelligence artificielle, ces machines vont peut-être prendre le pouvoir un jour. Et nous avons tout intérêt à évoluer en bonne intelligence avec la technologie et l’environnement. Les « Watchers » sont des lanceurs d’alerte. Lire la suite de l’interview de Laurent Depré.
« Comme les rencontres humaines, les rencontres technologiques sont souvent liées au hasard. Il faut savoir les saisir, sans être obsédé par elles ». (noisey.vice.com, 19/11/2018)
Le pionnier électronique français fête les 40 ans d’« Equinoxe* » en grande pompe, en sortant sa suite, « Equinoxe Infinity* ». Du coup, on lui a posé la question la moins sexy de l’histoire de la musique : « À 70 ans, comment on gère son patrimoine ? »
On peut porter un prénom de plombier et faire carrière dans la musique électronique. À 70 ans et plus de 60 millions de disques vendus, la figure de Jean-Michel Jarre continue d’être autant adulée que moquée. Faisant aussi bien régulièrement l’objet de procès en imposture que de réhabilitations en grande pompe, le roi du laser ne cesse d’agacer, de diviser, d’étonner, de piquer. Toujours autant obsédé par la technologie quand la plupart de ses congénères commencent gentiment à chercher la cuillère pour sucrer les fraises, avide de nouveautés, il revient aujourd’hui avec Equinoxe Infinity, suite du multi-platiné Equinoxe. (Note: l’INASOUND a été reporté peu de temps après l’interview à cause de l’action des Gilets Jaunes) Lire la suite.
Jean-Michel Jarre était l’invité de Laurent Goumarre sur France Inter ce soir dans le « Nouveau Rendez-vous » qui occupe la tranche de 22 heures à minuit. Michaël Hers, réalisateur de « Amanda », était à ses côtés. Nous vous proposons les principaux extraits de cette émission consacrée à Equinoxe Infinity où il a été aussi beaucoup question de cinéma. La page de l’émission.
Dans cette vidéo, Jean-Michel Jarre évoque la conception d’Equinoxe Infinity, sur l’écologie, la radio publique, mais se soumet aussi à un petit quizz sur l’habillage de France Info. : « On m’a donné à lire un document de 120 pages. J’ai ouvert la première, j’ai refermé, j’ai fait comme j’avais envie… ils ont aimé ».
Jean-Michel Jarre sort lundi 19 novembre un nouvel album baptisé Equinoxe infinity*, inspiré par son célèbre Equinoxe* de 1978. C’est un condensé de « tous les sons que nous offre aujourd’hui l’ère du numérique », explique à franceinfo le compositeur de musiques électroniques. Lire la suite.
Pour les quarante ans d’«Equinoxe», le pionnier de l’électronique synthétique imagine une passionnante pop spatiale instrumentale.
On ne l’arrête plus. Après un trou d’air de huit ans dans sa discographie, à la suite du dispensable (de son propre aveu) Téo & Téa* (2007), Jean-Michel Jarre, au sortir d’une longue période de déprime, a publié en l’espace de trois petites années Electronica 1* et 2*, soit l’équivalent de deux doubles albums, une composition épique de 39 minutes (Oxygène 3*), une œuvre rétrospective (Planet Jarre*) et enfin, aujourd’hui, Equinoxe Infinity*, carrément un pic créatif du plus grand vulgarisateur (au sens noble du terme) de la musique électronico-synthétique. Lire la suite.
Article lu 128 fois
De A à Z, actualités et zooms sur Jean-Michel Jarre