« Les pays qui ne sont pas très nets avec les droits de l’hommme (…), il faut y aller. (…) Les gens qui souffrent dans leur chair d’un régime inacceptable, si en plus on les punient de cinéma, de musique, de littérature ou de peinture, c’est encore pire. Donc, il faut y aller. »
« Je suis aussi un musicien de la rue : c’est d’ailleurs pourquoi je me sens bien dans les concerts en extérieur, beaucoup plus que dans les salles. » (Keyboards, 1994).
« Quand je suis monté sur scène, je me suis retourné pour savoir si tout ces gens étaient venus pour moi. » (Après le concert de La Défense et ses plus de 2,5 millions de spectateurs, en 1990).
« Moi, j’étais plutôt dans le domaine de la musique expérimentale. J’aurais pu terminer à l’IRCAM, ou ailleurs, en fait. » (Sur France 5, dans l’émission Les premiers pas, 2007)
« Plus un instrument est simple, plus tu peux t’exprimer. Plus il est compliqué, moins tu peux t’exprimer facilement, parce que pour arriver au même degré de connaissance, il te faudrait plusieurs vies. » (Keyboards, 1997)
« Le critère le plus important d’un bon synthé, c’est le son pur, sans effet(s) et branché en mono. Si l’engin fonctionne de cette façon, tout comme le ferait un bon instrument acoustique, c’est déjà satisfaisant. » (Keyboards, 1994)
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