Jean-Michel Jarre sur France Inter à partir de 21H00 dans « Le nouveau rendez-vous » de Laurent Goumarre. Le site de l’émission.
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Jean-Michel Jarre sur France Inter à partir de 21H00 dans « Le nouveau rendez-vous » de Laurent Goumarre. Le site de l’émission.
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Jean-Michel Jarre, l’électro libre
Par Jean-François Cadet
Diffusion : jeudi 5 novembre 2015 à 14h10 TU sur l’antenne monde et à 23h10 TU sur l’antenne Afrique.
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Il s’agit du premier volet d’un diptyque auquel s’est ralliée toute la scène électronique, dont la suite paraîtra en avril 2016. Entretien.
La Croix : Quand est née cette idée de vous associer à d’autres musiciens électroniques ?
Jean-Michel Jarre : Elle a pris corps, il y a cinq ans, alors que je me trouvais dans une période douloureuse de mon existence, après les décès de mes parents, de mon producteur Francis Dreyfus, et un divorce. J’avais besoin de voyage, et de « partage » de moments de création avec les artistes qui m’inspiraient, fers de lance de cette scène électronique née en Europe, sous l’influence de la musique classique.
Rien de moins simple, pourtant, car nous, ses représentants, sommes dans nos « home studios » comme des peintres dans leurs ateliers. Il nous est difficile de partager nos habitudes. J’ai pourtant eu la surprise que tous les artistes contactés m’ouvrent leur porte.
Je suis allé en Autriche rencontrer Tangerine Dream, avant le décès de son fondateur Edgar Froese, j’ai travaillé en Angleterre avec Pete Townshend, guitariste des Who et pionnier du genre. Ou à Brooklyn avec Vince Clarke, Laurie Anderson ; à Los Angeles avec Moby… Lire la suite.
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Les coulisses du morceau Suns have gone, avec Moby et Jean-Michel Jarre, qui figure sur l’album Electronica volume 1: a time machine.
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Quatre décennies après “Oxygène”, Jean-Michel Jarre sort un album-phare retraçant, avec des collaborateurs prestigieux, les années électroniques. Cet artiste-éclaireur ne manque pas non plus d’inspiration dans ses combats pour la culture ou l’environnement.
Pourquoi intituler cet album-concept aussi simplement :” Electronica “?
« L’objectif était de réunir la famille de la musique électronique depuis quarante ans. J’ai toujours été convaincu que cette musique allait devenir la plus populaire dans le monde, non pas parce que c’est un genre comme le rock, le punk, le hip-hop, mais parce que c’est une autre manière de concevoir la musique, non plus sur du papier comme auparavant. En tant que Lyonnais, la musique électronique c’est comme faire de la cuisine : on cuisine les fréquences de manière très organique avec les mains. Ce n’est pas uniquement cérébral, froid, robotique, comme c’est souvent décrit. C’est en prise avec la matière. À travers Internet et notre quotidien, Electronica pourrait être cette muse du XXIe siècle, comme Elektra (la lumière) l’a été pour le XXe. » Lire la suite.
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Il a rendu la musique électronique populaire dans le monde entier. Il s’est produit dans les endroits les plus insensés, des pyramides de Gizeh à la place Tienanmen. Il a vendu 80 millions de disques. Jean-Michel jarre, 67 ans, revient au devant la scène avec un album ambitieux, Electronica. En route pour l’Atomium avec Jérôme Colin dans Hep taxi !, il raconte sa vie, ses amours et sa musique. Continuer la lecture de JMJ dans “Hep Taxi!” sur la deux belge (01/11/15)
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Jean-Michel, qui avait dévoilé son nouvel album devant des fans dans les locaux de Deezer l’avant-veille de sa sortie, donne un extra en se soumettant à un « blind test » pour le compte du service de streaming.
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A l’occasion de la sortie d’Electronica 1 : The Time Machine, Greenroom a rencontré le pionnier Jean-Michel Jarre.
Quand on pense Jean-Michel Jarre, on voit des lasers, un brushing, des concerts gigantesques. On entend quelques notes d’Oxygène, qui traîne encore en cassette dans nombre de maisons. Et puis, on est rapidement impressionné : n’est-il pas un des premiers Français à s’exporter aussi bien ? N’est-il pas le premier à populariser la musique électronique à une époque où elle est au mieux taxée de « bizarre », au pire de « sous-musique » ? Sans Jean-Michel, pas de Air, pas de French Touch, pas d’Ed Banger, pas de Bromance et, in finé, pas de Concrete dimanche matin. Autant dire qu’on lui doit pas mal de bons moments. Alors quand le compositeur sort un nouvel album, après huit ans d’absence et bourré de featurings (pardon, de «collaborations»), forcément, ça intrigue. Jean-Michel Jarre en 2015, ça donne quoi ? Un monsieur adorable, très bavard, en gilet tout simple alors que nous le rencontrons dans un très chic hôtel de l’avenue Montaigne. Il nous parle des nombreuses collaborations de cet album, sorti vendredi 16 octobre, de notre rapport à la technologie (une de ses passions depuis quelques années), de binge watching… Vivement la prochaine saison des festivals : on le croisera sûrement. Lire la suite.
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Jean-Michel Jarre parle d’Electronica volume 1: A time machine, de Little Boots, de sa mère, mais aussi un peu de politique. Interview par Karine de Ménonville.
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